N°1 : Passage obligé

« Avec une part du PIB national de 3,7 % estimés en 2010, la filière Internet “pèse” d’ores et déjà davantage que des secteurs clés de l’économie française comme l’énergie, les transports ou encore l’agriculture, en  valeur ajoutée. »

Catherine Moal, rédactrice en chef d'Alliancy

Catherine Moal, rédactrice en chef d’Alliancy

L’étude McKinsey, d’où cette phrase est extraite*, ouvre de grands espoirs.  Elle  tire les premiers enseignements chiffrés de ce que l’on appelle la révolution numérique qui se déroule, sans bruit, sous nos yeux. Elle est prometteuse, porteuse d’espoir non seulement pour les nouvelles entreprises, mais aussi pour les nombreux salariés des industries plus « traditionnelles », aujourd’hui remises en cause et boostées par cette transformation.

Chacun doit trouver sa voie. Tous les secteurs d’activité sont concernés! ne parle-t-on pas désormais de voitures, de télévisions, de compteurs et de cafetières… connectés? cela passera par des partenariats aux formes totalement inédites. L’exemple de rossignol, que nous publions en page 66, illustre ces propos. Plus que centenaire, le fabricant de skis isérois a su tirer parti des réseaux sociaux, avec l’appui de salesforce, pour disposer d’un retour direct sur la qualité de ses produits… résultat : une évolution de son mix produits vers le haut de gamme et un redressement de son bilan. De même, le palmarès d’Alliancy, le  prix démontre la valeur ajoutée que chacun en retire.

Au-delà des multiples acteurs de l’IT, Alliancy, le mag s’adresse à toutes les entreprises, petites ou grandes, pour qui « une utilisation plus intensive des technologies du Web doit devenir un accélérateur de développement »*, créateur d’emplois. Dans leur vie privée, les salariés l’ont compris. Certains clients et fournisseurs se sont lancés… A votre tour de le décider.

 

* « Impact d’Internet sur l’économie française », rapport McKinsey & Company, mars 2011.