France Verif, la solution d’Intelligence Artificielle mise au point par des chercheurs français issus de Polytechnique, Pierre-et-Marie-Curie et des Mines et qui se pose en protecteur des consommateurs sur internet, se réjouit d’annoncer que le Gouvernement français a décidé d’investir dans la start-up 320 M€.
Laurent Amar, co-fondateur de France Verif, se félicite : « Nous sommes honorés de constater que nos multiples rendez-vous avec les services de l’Etat aient ainsi pu permettre cette prise de conscience au plus haut niveau… prise de conscience qui se matérialise par une prise de participation de l’État Français. C’est une véritable reconnaissance du savoir-faire et de l’excellence français qui sont ainsi salués et reconnus par nos dirigeants. »
Des discussions qui se sont étalées sur 18 mois
Alors que France Verif tirait dès le début de 2020 la sonnette d’alarme sur la recrudescence des arnaques sur internet et sur la nécessité de classer ce phénomène au nombre des causes nationales prioritaires, l’entreprise co-fondée par Laurent Amar a ainsi eu l’occasion de sensibiliser les différentes parties prenantes de l’État à cela.
Ainsi, plusieurs rendez-vous avec la DGCCRF, avec plusieurs services du ministère des Finances et avec le conseiller spécial de Cédric O, ont été nécessaires à la pépite française pour présenter sa solution efficace à 99,79% contre la fraude sur internet.
Un conseiller proche de l’Elysée précise : « Après avoir constaté l’excellence apportée par France Verif et l’avoir challengée à de nombreuses reprises, il nous a semblé évident que la France ne pouvait pas passer à côté de ce qui allait être dans les prochaines années le leader mondial de la lutte anti-arnaques. N’oublions pas que d’ici 2 ans maximum, tous les terminaux électroniques seront équipés de solutions pour prévenir les escroqueries sur Internet. Et nous ne pouvions pas passer à côté de cette occasion de faire rayonner la France dans le monde. »
Un investissement qui entre en résonance avec l’engagement 21 du candidat E. Macron
Cet investissement s’inscrit dans la droite ligne de l’engagement cyber du candidat Macron pour 2022, qui annonce la création d’une plateforme anti-arnaques.
Un conseiller de campagne du candidat-président explique : « Nous aurions pu attendre les résultats de l’élection présidentielle pour débloquer cet investissement, mais nous ne voulions pas passer à côté d’une telle opportunité de protéger nos compatriotes à d’uniques fins électorales. Peu importe le résultat de l’élection, dorénavant, nous avons la certitude que les Français et les Françaises auront tout pour éviter de se faire escroquer sur internet. »