Dépendances technologiques : comment bien répondre avec l’open source et éviter les pièges

Le retour en force des préoccupations géopolitiques et les stratégies commerciales de plus en plus agressives de certains acteurs dominants et non-européens de la tech ont remis la lutte contre les dépendances technologiques au cœur des préoccupations stratégiques des organisations. Éviter des augmentations drastiques et imposées de prix, regagner de la liberté stratégique dans ses choix de transformation, maîtriser les risques sur les données… Les directions des systèmes d’information se mobilisent aujourd’hui avec une vigueur renouvelée pour s’assurer de la réversibilité des solutions et pour reprendre la main face à des contrats et des solutions propriétaires devenues parfois bien trop invasives. L’affaire VMware/Broadcom a été ces dernières années l’un des chocs les plus emblématiques qui ont conduit à l’accélération de la prise de conscience. Mais l’enjeu est aussi de préparer le futur et de contrer les dépendances qui pourront arriver, demain, autour de l’intelligence artificielle notamment.

Dans ce contexte, l’open source s’impose sans surprise comme une réponse de premier plan. Ses avantages sont connus en termes de flexibilité, de sécurité, de maîtrise… Pour « reprendre leur destin en main », de nombreux acteurs imaginent donc des stratégies plus ambitieuses en la matière, associées avec des « plans de sorties » pour les solutions du marché, le plus souvent américaines, les plus étouffantes pour l’entreprise. Mais quels doivent être les composants clés d’une telle stratégie ? Et à quoi faut-il faire le plus attention ? Malgré tous ses avantages, l’open source n’est pas une baguette magique : une vision rigoureuse est nécessaire pour en tirer le meilleur parti. D’autant qu’au côté du « vrai open source » coexistent des succédanés où les compromis dénaturent souvent la qualité des gains recherchés. Alors quels sont les choix de ceux qui mènent des stratégies ambitieuses pour éviter ces écueils ?

Cette rencontre organisée avec le soutien d’Alliancy et du Do Tank « Maîtrise des dépendances technologiques et libertés d’action » sera l’occasion de débattre entre pairs sur les défis actuels des transformations open source dans les organisations :