Birdz, pionnier de l’IoT environnemental et filiale de l’activité Eau de Veolia en France, a publié son infographie « Comment bien choisir son réseau IoT ? ». Il en ressort ainsi que 50% des objets connectés sont isolés et/ou mobiles. L’étude démontre également qu’en 2020, la majorité des applications IoT se fait déjà au travers de nouveaux réseaux de connectivité, autre que GSM (2G, 3G, 4G).

Le choix des réseaux est primordial pour permettre une bonne interaction avec les objets connectés. Ce postulat est d’autant plus vrai pour les projets ayant des spécificités techniques fortes, comme, par exemple, la surveillance des réseaux d’eau pour lesquels les capteurs sont enfouis sous terre. Les épaisseurs de matières ou la présence de fonte, par exemple, peuvent interférer avec les technologies télécom et limiter la performance des réseaux IoT pour un usage donné.

Pour être utile, le réseau IoT sélectionné devra satisfaire un grand nombre de cas d’usages différents. Pour être économiquement intéressant, le choix du réseau IoT devra privilégier l’interopérabilité pour garantir une préservation durable des investissements engagés dans la digitalisation. Il existe un vaste choix de technologies mais aussi d’opérateurs sur le marché, créant ainsi un environnement compétitif mais toutefois inégal en termes de performance pour connecter tous les cas d’usages de la ville.

Durabilité, qualité de couverture réseau dans les endroits difficiles d’accès, ou encore standardisation, de nombreux facteurs entrent en jeu dans le choix d’un réseau IoT. Pour réussir son évaluation, le porteur du projet doit considérer plusieurs critères de comparaison à court, moyen et long terme, pour comprendre la pertinence des différents réseaux IoT.

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