[Diaporama] A la découverte d’un datacenter caché dans les Fjords

Diaporama : A la découverte d'un datacenter caché dans les Fjords
Vue du ciel
Datacenter vue

Découvrez, en quelques images, le datacenter norvégien de Green Mountain caché sous les falaises...

 

Vue du ciel
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Emplacement stratégique
Datacenter green mountain entrée

Depuis le port de Stavanger, sur la côte sud-ouest de la Norvège, il faut une trentaine de minutes pour rejoindre l’île de Rennesøy. C’est là, niché sous 200 mètres de granit, bordé par la mer, que la société norvégienne Green Mountain AS, accompagnée du groupe français Schneider Electric, a ouvert en mai 2013 un datacenter hors du commun. Etendu sur plus de 20 000 mètres carrés, cette infrastructure, installée dans un pays où l’écologie est reine, est présentée par ses fondateurs comme « la plus green au monde ». Crédit photo/ Pauline Leduc

 

 

Emplacement stratégique
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Bunker
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Bunker ! C’est le premier mot qui vient à l’esprit lors de la visite du site et que l'on s'aventure dans les dédalles de galeries, creusées à même la roche, qui constituent l’écrin du centre de données. Et pour cause. Green Moutain est implanté dans une ancienne base de l’Otan, un ancien dépôt de munitions construit dans les années 1960. Le propriétaire a investi près de 50 millions d’euros pour la reconversion des lieux, sans que les trois galeries avoisinant les 160 mètres de profondeur n’aient encore été complètement aménagées. Crédit Photo/Pauline Leduc

 

Bunker
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Sécurité
Securité Green Mountain

Malgré le secret qui l'entoure, le datacenter, invisible depuis la mer, est hautement surveillé. Caméras, SAS de contrôle individuel, codes d'entrée, lecteur d’empreintes digitales et contrôle du poids pour le personnel, porte blindée coulissante, habilement dissimulée dans un mur pour les visiteurs. Sitôt refermée, le niveau d’oxygène est automatiquement baissé à 15 % (contre les 21 % habituels), donnant l’impression au néophyte qu’il arpente un sommet à 3 000 mètres d’attitude. Une technique destinée à préserver le centre de données d’un potentiel incendie. Crédit photo/Green Mountain

 

Sécurité
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Free Cooling
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Dans cet enchevêtrement de tuyaux transite l’eau de mer, puisée à 100 mètres de profondeur, d’où, grâce à un système de siphon et aux effets de la gravité, elle est amenée vers des bassins permettant d’alimenter les échangeurs thermiques (eau de mer/eau du datacenter). La proximité immédiate des eaux de la Mer Baltique a en effet permis à Green Mountain et à Schneider Electric qui a pris en charge l’ensemble des infrastructures énergétiques, d’installer cette solution de "free cooling" naturelle, clé de voute de l’étiquette verte du datacenter ; ce procédé permet de le refroidir avec un impact environnemental qualifié de « quasi nul ». Il affiche, par ailleurs, un PUE (Power Usage Effectiveness) inférieur à 1,2, soit un chiffre bien en-dessous de la moyenne européenne, estimée à 2,53. Crédit Photo/Pauline Leduc

Free Cooling
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Espace
Vide datacenter

Cette photo a été prise avant l’ouverture du datacenter et illustre encore maintenant le potentiel d’extension du site ; les salles blanches occupent pour l’instant une surface de 12 000 mètres carrés, avec un taux de remplissage de 10 %. Même si la société Green Mountain reste discrète quant à l’identité des sociétés clientes, elle concède juste qu'elles sont presque toutes norvégiennes, mais espère notamment attirer des entreprises américaines. Crédit photo/Green Mountain

Espace
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Redondance
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Parallèlement, Green Moutain, toujours en partenariat avec Schneider Electric, a construit à Rjukan, ville située à 300 kilomètres environ au nord-ouest de Stavanger, un site miroir opérationnel depuis la mi-2014. La société norvégienne entend y investir 75 millions d’euros supplémentaires dans les prochaines années pour en faire un nouveau grand centre de données « zéro émission ». Crédit photo/Green Mountain

Redondance
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Retrouvez l'article consacré au datacenter de Green Mountain dans le hors série du magazine Alliancy spécial Cloud qui vient de sortir !

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