Catherine Moal, rédactrice en chef d’alliancy
Ce que j’ai retenu de ce débat :
- Après l’air, la lumière, le bruit et la connectivité… le bien-être au travail passe avant le digital.
- Le coworking ? Certes, c’est un vrai phénomène, mais qui fait beaucoup de bruit pour pas grand-chose. Cela concerne 40 000 postes de travail en France !
- Il faut qu’un bâtiment soit désirable. L’entreprise prend ensuite ce dont elle a réellement besoin. Et ce n’est pas obligatoirement du digital.
- Créer un environnement flexible impose de disposer de données pour savoir quels sont les usages réels du bâtiment.
- En termes de données, le vrai sujet reste leur transformation, mais pour cela, il faut qu’elles soient homogénéisées, structurées et anonymisées.
- Notre objectif est d’absorber la flexibilité future et d’arriver à la piloter par le digital et la servicialisation.
- La donnée dans le bâtiment appartient aux locataires.
- Il est important de réfléchir aux multi usages d’un bâtiment.
- Dans nos métiers, il faut anticiper le besoin de compétences, face à des métiers qui se standardisent.