Levée de fonds – FinalCAD s’associe à Serena Capital

De gauche à droite les 3 co-fondateurs de FinalCAD, Joffroy Louchart, Jimmy Louchart et David Vauthrin. DR FinalCAD

De gauche à droite les 3 co-fondateurs de FinalCAD, Joffroy Louchart, Jimmy Louchart et David Vauthrin

En pleine mutation, l’entreprise FinalCAD poursuit son développement grâce à une levée de fonds de 2,1 millions d’euros. Les ambitions de ce spécialiste des solutions mobiles sont étroitement liées avec celles de son investisseur majeur, la société de gestion Serena Capital. FinalCAD oeuvre à « renforcer son développement à l’international et recruter une centaine de collaborateurs » rapidement. Concrètement, « notre équipe souhaite standardiser un process qualité à l’étranger, où la demande de nos clients est de plus en plus importante », explique Joffroy Louchart, Directeur Général et co-fondateur de FinalCAD. Il table sur un « triplement de son chiffre d’affaires d’ici à deux ans ». Afin d’aider l’entreprise à atteindre ses objectifs, Serena Capital veut être plus qu’un soutien financier. « Nous souhaitons apporter notre double expérience en tant qu’entrepreneurs et investisseurs pour s’associer à l’équipe managériale de FinalCAD et accompagner leur croissance », déclare Xavier Lorphelin, Managing Partner de Serena Capital.

La société est en pleine croissance : le nombre d’employés est passé de 3 à plus de 30 personnes en peu de temps. En parallèle, le conseil d’administration de l’entreprise a rallié Amélie Faure, créatrice et dirigeante de plusieurs entreprises dans les secteurs de l’informatique et du logiciel et membre du Conseil d’Administration de BPI France.

Initialement, cette société de « solutions mobiles destinées à optimiser les process de construction, de suivi de chantier et d’exploitation dans le BTP » a été co-fondée par David Vauthrin (ancien employé d’Apple), Jimmy Louchart (docteur en mathématiques) et Joffroy Louchart (expert en stratégie d’entreprise). Fin 2011, ils ont lancé le service d’accompagnement FinalCAD afin de mieux communiquer entre intervenants et mieux rentabiliser la construction : la Tour Eiffel, le Louvre ou encore le Zoo de Vincennes, y ont eu recours.