[Dossier] Open banking : l’exercice imposé à tous

Open-Banking-exercice-imposé-à-tou RGPD, DSP2… L’application de ces nouvelles réglementations européennes impose de plus en plus aux banques d’ouvrir une partie de leur système d’information (SI) vers l’extérieur, via les API (pour Application Programming Interface, en anglais). Leur rôle ? Créer des passerelles entre différentes applications pour faciliter les échanges et s’ouvrir à l’écosystème. Ces API sont donc de puissants leviers d’innovation et des vecteurs de nouveaux business pour les banques.

Relation client et création de valeur

Par exemple, des FinTech ont construit leurs offres sur la consommation et la production d’API (parfois tierces), comme Linxo dans l’agrégation de comptes bancaire ou N26, la néo-banque allemande…

Les acteurs plus traditionnels peuvent également en tirer parti, à condition de collaborer de plus en plus avec les nouveaux entrants ; de faire appel à des partenaires extérieurs en leur donnant accès à leurs données ou services (API stores)… Tout dépend de ce que ces banques, par tradition très conservatrices, sont prêtes à lâcher à leur écosystème en termes de données clients… Cette avancée technologique s’appelle l’Open Banking. Bourrée d’opportunités, elle permet certes d’offrir une « expérience utilisateur » personnalisée, mais elle a aussi l’inconvénient de redistribuer les cartes dans l’écosystème financier et bancaire.

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