Retour sur le workshop digital « Dette technique et transformation du legacy : comment les DSI des grandes entreprises peuvent accélérer ? »

Retour sur notre échange avec 10 grands CIO et dirigeants IT sur la manière de mieux gérer la dette technique et le legacy de leur entreprise.

Les DSI françaises ont pour la majorité témoigné ces dix-huit derniers mois d’évolutions majeures dans leurs organisations, secouées par la crise sanitaire. Mais savent-elles capitaliser aujourd’hui sur cet épisode pour changer leur approche vis-à-vis de la dette technique qui tend, en s’accumulant, à obérer leur capacité de transformation ?

C’est la question qu’Alliancy a posé à une sélection de DSI de grandes entreprises et d’organisations publiques françaises, réunies lors d’un atelier numérique organisé avec notre partenaire Oracle. Cet échange visait à faire émerger les concepts et mots clés qui paraissent clé à ces décideurs IT face à leurs défis actuels de transformation à la fois de leur legacy et de leurs modes de fonctionnement quotidien. Les témoignages se sont notamment concentrés autour de deux points : les réactions à la crise peuvent-elles être pérennisées pour amender la gestion de la dette technique ? Et quels sont les leviers prioritaires à activer pour les mois à venir ?

Nous avons réuni ici des extraits des témoignages recueillis. La synthèse plus globale de ces échanges et de leurs enseignements est également à retrouver dans le guide spécial édité par Alliancy, en téléchargement.

Robert Auffray, Senior Vice President de Schneider Digital - Schneider Electric

« Ces derniers mois, nous avons vraiment ressenti le besoin de plus de standardisation. La pandémie a accéléré le besoin d’une plus grande agilité pour répartir les commandes d’un centre de distribution à l’autre selon l’évolution de la situation … mais quand les systèmes sont différents et ne permettent pas cette coordination, cela devient plus difficile. Dans chaque pays pris indépendamment, le legacy et les développements spécifiques permettent d’être très forts, mais dès que l’on regarde avec une vision d’ensemble, on voit que la transformation prend plus de temps en cas de besoin. Notre réflexion se pose donc sur ce que sera l’IT de demain et l’organisation de la DSI pour l’accompagner.  Cela passera par une standardisation et un sponsorship business beaucoup plus fort. Nous voyons donc la question de la gestion de la dette technique sous l’angle de l’opportunité aujourd’hui. »

Nicolas Siegler, Directeur Général Adjoint de la MAIF en charge des Systèmes d'Informations

« Nos utilisateurs, isolés chez eux par le télétravail, ont eu le temps de redécouvrir nos outils depuis un an : à la fois les évolutions technologiques (IHM,…), et aussi en termes de fonctionnalités métiers. Nous avons assisté à un phénomène de reconnaissance de ce qui fonctionnait bien et qui avait de la valeur. En soi, cela n’accélère pas la transformation du legacy, mais cela permet d’en rationnaliser l’évolution avec moins de demandes tous azimuts. 

Il faut bien comprendre que la problématique du legacy est à la fois une question de stock – ce legacy sur lequel on s’appuie déjà – mais aussi de flux – ce que l’on créé et de quelle façon. En étant plus agile dans notre façon de développer, on limite la dette créée. en effet, la vision « build + run » permet aux squads d’avoir une approche globale, en se concentrant sur ce qui est vraiment utilisé par les métiers et en gérant au mieux les backlogs. C’est aussi une hygiène de développement qui passe par de nouveaux réflexes comme des revues de code systématiques pour éviter sécuriser la qualité des développements. 

Par ailleurs, en 2020, les métiers ont réalisé à quel point la qualité du SI existant était importante : dans les budgets, nous avons donc recapitalisé la partie « run », en baissant un peu la partie « change ». L’objectif est d’atteindre un équilibre par petite touche entre améliorations de l’existant et nouvelles fonctionnalités, en favorisant un travail de fond qui permette d’investir sur les socles d’avenir avec sérénité. »

> Retrouvez notre interview de Nicolas Siegler dans le guide « Dette technique et legacy : comment les DSI des grandes entreprises accélèrent ? »

Cyrille Bichon, Director of Software Engineering de Thales

« Le sujet de la dette technique n’est pas nouveau, mais la crise nous a permis de prendre du recul. Nos utilisateurs ont en effet dû faire face à une distance sociale et technique en même temps. Cela a été ressenti comme une opportunité pour faire évoluer les modes agiles que l’on avait en place et qui étaient basé sur du présentiel… pour mieux intégrer la dimension digitale. De manière générale, la situation a mis en exergue une nouvelle face de notre dette : tout ce qu’on compensait par de l’échange direct, par des contournements « humains » s’est retrouvé inutilisable. Le traitement de la dette reste une gestion de risque et il n’est pas possible de la « solder » : au lieu de s’y évertuer, nous préférons développer l’excellence de nos pratiques et monter progressivement nos niveaux d’exigences sur nos réalisations : qualité du code, amélioration continue, sécurité… Afin de limiter et maitriser les risques. »

Emmanuel Bonnet, DSI du Conseil départemental Hauts-de-Seine

« Nous sommes une collectivité territoriale qui avait une bonne partie des agents travaillant sur PC fixe. Nous avons dû gérer rapidement cette dette technique et nous sommes aujourd’hui à 95% sur des PC portable. Nous nous sommes aussi appuyés sur le cloud, pour les accès à distance et pour la modernisation de l’environnement de travail. Un point clé que nous avons dû traiter a été la couche sécurité, car nous avons dû nous ouvrir beaucoup plus sur l’extérieur. Nous avons acheté plusieurs nouvelles briques technologiques, mais il faut maintenant les orchestrer, les faire vivre dans le temps. Sur la partie legacy et dette au niveau des infrastructures, la crise n’a cependant pas joué beaucoup plus que les obligations légales, comme l’engagement « Dites-le nous une fois ». »

Anne-Florence Canton, Cheffe de service du numérique du Ministère de la Justice

« Nous avons pu voir ces derniers mois toute la césure entre le legacy et nos capacités pour développer de nouvelles applications. Mais la crise a montré que mine de rien le legacy a bien permis d’assurer une partie des fondamentaux pour le métier, heureusement… L’idée est donc de repartir de cette fondation solide, pour faire du neuf par morceau sur des sujets comme les API ou le RPA. Ces opportunités sont à décorréler et à isoler du reste du SI, pour gagner de la qualité dans la trajectoire, avant de les réconcilier. Le cloud est en ce sens clairement une opportunité, surtout dans la méthode de travail pour introduire des pratiques DevOps et agile. Nous sommes aujourd’hui passé dans des paradigmes où s’attaquer au legacy et à la dette ne se fait pas à travers un programme de 5 ans comme par le passé. Mieux vaut mettre peu en production mais rapidement, plutôt que tout d’un seul tenant. »

Jean-Baptiste Courouble, DSI de l'ACOSS

« Les systèmes centraux que nous manipulons ont été conçu dans les années 80… Ils sont donc porteurs de nombreuses contraintes par rapport aux attentes actuelles. Evidemment, nous avons pensé à les reprendre entièrement mais cela couterait des millions d’euros, sans vraie garantie de résultat. Alors quels sont les leviers pour agir ? Sur la partie applicative gérée en interne, nous devons à la fois moderniser et sécuriser. L’idée est donc d’encapsuler la dette, pour qu’elle soit le moins visible possible. C’est une approche de maitrise et de gouvernance pragmatique de la dette. Par ailleurs, nous sommes entré dans une approche produit du développement. Nous demandons aux product owners côté métier d’embarquer la question de la dette dans leur gestion : ils ne doivent pas se contenter de créer du neuf à partir d’une feuille blanche. S’ils veulent faire évoluer leur produit, ils doivent accepter de cantonner la dette et de la gouverner. En la matière, nous savons tous que la dette a de beau jour devant elles, mais aussi que nous pouvons activer de nombreux leviers : apisation, cloud, digitalisation… qui vont nous permettre de l’aborder différemment que par le passé. »

Christophe Cazes, Directeur of Innovation Groupe de Novares

« Au-delà de tous les aspects techniques, je crois que la crise a surtout prouvé à de nombreuses organisations qu’elles avaient une capacité incroyable à réagir, à s’adapter et à faire preuve de créativité. J’ai la conviction que nous pouvons trouver des solutions intéressantes, malgré des problèmes anciens, qui se sont accumulé pour créer ce « legacy ». Toute la difficulté aujourd’hui, est d’arriver à pérenniser ces approches, plutôt que de revenir aux vieilles habitudes et de se laisser paralyser par tout ce qu’il y a faire. Ne laissons pas une peur de la dette technique nous bloquer dans la démarche d’innovation, car il y a toujours des solutions innovantes à apporter. »

Frederic Novello, DSI Transilien (mass transit) de SNCF

« Il est urgent de penser l’avenir en termes de modularisation d’un système d’information en bulles autonomes. Nous avons trop tendance à penser le SI en mode monolithique : « tout ou rien ». La réalité, c’est que certaines des architectures actuelles vivent très mal qu’une autre partie du système d’information soit indisponible, quelle qu’en soit la raison. Cela nuit d’ailleurs profondément à toute transformation. Donc, il est nécessaire de créer des bulles applicatives qui soient relativement autonomes, comme fondation d’un SI moderne. Elles permettent des interactions sécurisées et définissent un espace de liberté pour le développement. Celui se base sur les bonnes pratiques du cloud public et de l’intégration continue, mais adaptées à ce cadre autonome. Une grande partie du travail est aussi de calquer l’écosystème humain de la DSI et des métiers de l’entreprise sur cette nouvelle réalité technique à construire. Ce sont des postures et des modes de fonctionnement complètement différents qui sont nécessaires. J’espère donc que la période écoulée va permettre une prise de conscience car on ne peut plus vivre en trainant dans nos SI une telle dette technique. »

> Retrouvez notre interview de Frédéric Novello dans le guide « Dette technique et legacy : comment les DSI des grandes entreprises accélèrent ? »

Laurent Rousset, Directeur des Opérations Digitales The Adecco Group

« Ces derniers mois, nos principales remises en question ont été sur l’ouverture du système d’information et sur l’expérience client qu’il permettait de fournir. Nous avons constaté un important afflux de demandes d’information sur nos systèmes durant la crise. Certaines étaient prévues pour cela, mais pour beaucoup d’autres système back ou middle-office, cela a été très difficile. Aujourd’hui, ces systèmes représentent non seulement une dette technique, mais aussi une forme de dette intellectuelle de l’entreprise. Car ils sont représentatifs d’une certaine façon de penser la digitalisation qui ne va plus du tout. Il ne s’agit donc pas seulement de compenser une dette au niveau technique : il faut repenser les processus qui ont tendance à l’alimenter. C’est un argument difficile à faire entendre aux métiers aujourd’hui, qui peuvent être séduit par certaines technologies. Mais par exemple, pour moi, le RPA d’aujourd’hui est déjà de la dette technique, car il devient tentaculaire au sein du SI et tend à recréer le même legacy sous une autre forme. Nous menons donc un travail très important avec le métier sur la question de la modularité technique et sur les uses cases qui peuvent vivre en face : sortir des approches monolithiques et faire accepter des changements « morceau par morceau ». Et surtout il ne faut pas comprendre digitalisation des processus et dématérialisation. »

> Retrouvez notre interview de Laurent Rousset dans le guide « Dette technique et legacy : comment les DSI des grandes entreprises accélèrent ? »

Laurent Berenguier, Directeur général adjoint de l'Université Clermont Auvergne et président de l'A-DSI

« Je crois qu’au-delà de la dette technique, la crise a forcé à adresser le sujet de la dette « humaine » vis-à-vis de la technique, et la problématique d’adoption des technologies. Nous avons tous dû réfléchir à des façons différentes d'accompagner les métiers et les usagers. Cela nous a forcé à nous centrer beaucoup plus sur les attentes des usagers et leurs difficultés. La fracture numérique s'est révélée un enjeu important dans nos organisations. C’est aussi ce qui explique que la notion de gouvernance de la dette dépasse la seule partie technique. Les derniers mois ont engendré une vraie accélération en matière d'IT et rien ne dit la dynamique va se stabiliser. Cela va être un enjeu de gestion très important. »

Christophe Negrier, VP EMEA South, Technology Leader - Oracle

« Nous avons pu voir que la DSI a regagné ses lettres de noblesse pendant la crise. Celle-ci a été l’occasion de retrouver une proximité avec les métiers, sur tous les sujets clés de la continuité d’activité. Ce travail « main dans la main » n’a pas toujours été partout une habitude par le passé ! Dans la continuité de cette expérience, nous avons vu des pratiques évoluer pour accompagner la transformation des usages, mais aussi la nécessité d’ouverture clé avec la contingence de sécurité.

Ce que nous voyons aujourd’hui revenir dans les discussions c’est la préoccupation de ne pas retomber dans la situation d’avant crise. Il y a la volonté de moderniser massivement les manières de faire, plutôt que de juste gérer la dette d’un point de vue technique. C’est un point essentiel, car il n’y aura pas de transformation du legacy, sans une forte composante innovation qui intègre ces nouvelles pratiques. On ne pourra pas espérer une efficacité opérationnelle et financière sans cela. »

> Retrouvez notre interview de Christophe Negrier dans le guide « Dette technique et legacy : comment les DSI des grandes entreprises accélèrent ? »

Nous remercions nos invités pour leur présence à cet échange et pour s’être prêtés au jeu du partage, ainsi que nos partenaires, qui ont perms son organisation.

Une rencontre organisée avec le soutien d’Oracle :

Oracle Cloud propose une suite complète d’applications intégrées pour les ventes, les services, le marketing, les ressources humaines, la finance, la supply chain et le manufacturing, ainsi qu’une infrastructure de deuxième génération hautement automatisée et sécurisée qui inclut la base de données Oracle Autonomous. Oracle offre à ses clients un avantage unique en étant la seule entreprise au monde à proposer un portefeuille complet de cloud computing, couvrant le IaaS (Infrastructure as a Service), le PaaS (plateforme) et le SaaS (software). Aujourd’hui, des organisations dans 195 pays et territoires (comme le CERN, Showroomprive.com ou Engie pour la France), traitent plus de 55 milliards de transactions par jour via le cloud d’Oracle. Et Oracle Cloud redéfinit la façon dont elles se modernisent, innovent et sont compétitives. Quels que soient le point de départ, l’ampleur et l’objectif d’un projet cloud, Oracle fournit des services complets et intégrés qui permettent d’accélérer l’innovation et la transformation de l’entreprise. www.oracle.com/fr

Pour aller plus loin, découvrez notre guide « les défis d’un nouveau monde » sur ce thème

Pour aller plus loin, découvrez notre guide « les défis d’un nouveau monde » sur ce thèmeAlors que la période de crise a donné une perspective différente aux DSI françaises sur la manière de faire évoluer le poids de leur legacy, découvrez dans ce guide, comment est abordée aujourd’hui la question de la dette technique, face aux urgences de transformation.

  • Les DSI changent-ils leur façon d’adresser le problème de la dette technique ?
  • Quels sont les principaux leviers activés actuellement par les DSI pour mieux gérer la dette technique ?
  • Quels vont être pour eux les défis prioritaires à relever sur le sujet dans les mois à venir ?
  • Avec quel est l’impact du Cloud ?
  • Pourquoi réfléchir au legacy et à la dette technique sous l’angle de la RSE devient un impératif ?

A télécharger ici : https://www.alliancy.fr/guide-dette-technique-legacy

Rarement des mois auront été plus mouvementés pour toutes les DSI françaises en même temps, avec cette année 2020 qui vient de s’écouler. L’adaptation rapide et nécessaire, face à la crise, a permis de lever des blocages sur de nombreux sujets. Nous ne comptons plus les témoignages qui font état de 3 ou 4 ans de transformation gagnés dans les organisations. Alors, fini le poids du legacy qui obère tout changement ?

La question est évidemment rhétorique, car la dette technique se travaille sans cesse, du fait même de la transformation. Mais s’intéresser au sujet permet en fait de poser une autre question : que faire pour que les DSI ne s’essoufflent pas ? Quelles recettes leur permettent de maintenir un rythme élevé de transformation, à l’image de celui qui a été mis en œuvre dans l’urgence de la crise ? C’est en effet une attente majeure des dirigeants confrontés à des contraintes économiques et organisationnelles, qui vont durer.

Les défis ne manquent pas : il s’agit autant d’évaluer le coût réel de la dette technique par rapport aux rythmes d’innovation, que d’arbitrer sur les compétences et les modes de travail, dont il faut absolument se doter pour mener l’accélération continue de la transformation.

En 2021, il est donc plus que jamais important de trouver le « just enough » en termes d’investissement qui permet de conjuguer des réponses cohérentes à tous les niveaux.

Pour aborder ce thème, Alliancy organise en partenariat avec Oracle un workshop digital afin de réunir une sélection de DSI et d’identifier les bons réflexes à avoir dans les mois à venir. Un cahier spécial synthétisera les résultats de ces travaux, notamment en approfondissant plusieurs sujets abordés dans des interviews.

  • Quelles sont les questions prioritaires à se poser ?
  • Comment est abordée aujourd’hui la question du legacy et de la dette technique, face aux urgences de transformation ?
  • Quels enseignements ont été tirés de la période traversée par les DSI en 2020 ? Quels changements ont-ils concrètement mis en place ?

Un échange du cycle « SI et transformation »

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Un workshop digital organisé en partenariat avec Oracle

Oracle logo

 

Oracle Cloud propose une suite complète d’applications intégrées pour les ventes, les services, le marketing, les ressources humaines, la finance, la supply chain et le manufacturing, ainsi qu’une infrastructure de deuxième génération hautement automatisée et sécurisée qui inclut la base de données Oracle Autonomous. Oracle offre à ses clients un avantage unique en étant la seule entreprise au monde à proposer un portefeuille complet de cloud computing, couvrant le IaaS (Infrastructure as a Service), le PaaS (plateforme) et le SaaS (software). Aujourd’hui, des organisations dans 195 pays et territoires (comme le CERN, Showroomprive.com ou Engie pour la France), traitent plus de 55 milliards de transactions par jour via le cloud d’Oracle. Et Oracle Cloud redéfinit la façon dont elles se modernisent, innovent et sont compétitives. Quels que soient le point de départ, l’ampleur et l’objectif d’un projet cloud, Oracle fournit des services complets et intégrés qui permettent d’accélérer l’innovation et la transformation de l’entreprise. www.oracle.com/fr

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Les workshop digital d’Alliancy – Qu’est-ce que c’est ?

Face à la crise  les entreprises se sont adaptées rapidement pour répondre aux nouveaux besoins de leurs collaborateurs, clients et partenaires. Et un nouveau chapitre de transformation s’ouvre pour elles.

Malgré la distanciation sociale (et en attendant de pouvoir vous retrouver lors de nos dîners de la rédaction), il est important pour nous de continuer à proposer des moments d’échanges d’expériences, de débat et de collaboration, notamment pour les leaders technologiques qui font face à de grands défis. 

Il s’agit de se poser un moment et de prendre le temps de l’échange autour d’une question précise, pour confronter les pratiques, enrichir des scénarios d’action et co-construire ensemble des réponses à partager ensuite avec la communauté.

Un guide sera préparé par la rédaction à l’issu de chaque rencontre, pour partager les pratiques et les pistes qui auront émergées de ces échanges.

Cette rencontre se déroule en visio-conférence et en petit comité (8 à 10 personnes).