Alors que les effets économiques de la crise sanitaire n’ont pas fini de se faire ressentir, il semble urgent de de se préparer à la reprise. Un des meilleurs moyens d’y parvenir est de se servir de la donnée pour créer de la valeur et assurer la croissance de son organisation. Alliancy vous propose de découvrir 12 start-up qui exploitent les données pour aider les entreprises à préparer cette reprise.
C’est une jeune pousse du conseil qui a réalisé un pivot majeur en 2020. Axionable, créée en 2017 pour accompagner les entreprises dans leurs projets faisant appel à l’intelligence artificielle, se différencie aujourd’hui par une affirmation extrêmement claire : permettre l’émergence d’IA durable et responsable. De la sorte, l’entreprise souhaite réconcilier les projets qui visent à améliorer la compétitivité des organisations et les réponses aux défis sociétaux et environnementaux, en « développant des IA qui ont du sens ». Parmi les cas d’usages mis en avant : la prévention des risques psychosociaux, l’anticipation des changements climatiques ou encore la logistique durable.

Depuis l'annonce de la fermeture des établissements scolaires ce lundi, les entreprises d’enseignement à distance mettent leurs outils gratuitement à disposition pour faciliter l’apprentissage à distance. Par exemple, l’éditeur de chatbot Studizz propose son outil pour les organismes de formations initiales et professionnelles. Le bot permet de guider les étudiants pour leur recherche d’information concernant le recrutement dès la rentrée 2020. Idem pour l’école de business en ligne Enaco qui a annoncé ouvrir l’accès à titre gracieux de ses outils pédagogiques (classes virtuelles, chat, forums …) à destination des étudiants et professeurs durant la phase épidémique.
Outils d’enseignement à distance :

La start-up Geo4cast a lancé une nouvelle application regroupant trois cartes interactives différentes. Une carte de diffusion des syndromes respiratoires en partenariat avec OpenHealth Company, une autre affichant le taux de lits disponibles en réanimation sur le territoire et enfin une carte permettant de connaître l'évolution des déplacements des français pendant le confinement. Cette dernière avait par ailleurs fait parler d’elle en début de mois alors que Geo4cast avait fait remarquer au JDD un relâchement des Français dans le confinement.

Moïz propose des modules IOT sans batterie, fournissant des mesures physiques (température, flux), capable de récupérer l'énergie thermique présente dans l'environnement du capteur et de la convertir en électricité grâce à des puces Mems thermogénératrices. Un simple gradient thermique suffit. Ces capteurs, autonomes et communicants, sont capables de gérer la puissance disponible (niveau, stockage) et la liaison de données à travers le protocole choisi (Lora, Sigfox, BLE...). Les marchés visés : la surveillance industrielle, la maintenance prédictive et/ou préventive et la sécurité des équipements nomades, la consommation de gaz industriels/médicaux…

Kiro est une start-up créée il y a deux ans qui a développé une IA au service des laboratoires de biologie médicale. Concrètement, la solution permet de rendre les résultats d’analyse plus compréhensibles pour les patients et plus pertinents pour les médecins et biologistes. C’est, pour les professionnels de santé, un bon outil d’aide à la décision et au diagnostic. En tant que membre du club Excellence de Bpifrance, Kiro est aussi considéré comme "Investissement d'Avenir" par l'Etat. La jeune pousse est devenue lauréate du concours national de l'innovation (iLab) et du concours NETVA Deep Tech North America.


Légende : « On a postulé au Numa car on voulait être challengé au quotidien et avoir une ambiance de travail. » © Numa
Date de création : septembre 2015
Fondateurs : Kevin Cohen et Francis Bouvier
Bleuboard est une plateforme web destinée aux marques de l’électronique grand public qui leur permet de mieux contrôler leurs canaux de distribution en ligne. Concrètement, elle vise à augmenter leurs marges, vendre plus en évitant les ruptures de stocks et connaître la satisfaction client. La start-up compte déjà parmi ses clients de grands noms comme Withings, Parrot ou encore Netatmo et revendique 380 revendeurs partout dans le monde (la Fnac, Darty, Walmart, Amazon…). Aucune levée de fonds n’est prévue pour le moment.
Perspectives 2016-2017 : 300 000 euros de chiffre d’affaires pour 2016, embaucher les trois personnes actuellement en stage, améliorer les process, faire évoluer la plateforme avec notamment des dashboards plus supervisés.
Créée en 2016, Prevision.io propose une plateforme de machine learning automatisée et s’est spécialisé auprès d’acteurs spécialistes du transport, de l’énergie, de la santé, du retail ou encore de la banque. En novembre 2020, l’entreprise a annoncé la clôture d’un tour de table de série A de 6 millions d’euros, pour lui permettre de toucher le marché américain. Entretemps l’équipe de 6 collaborateurs initiaux s’est étoffée pour atteindre une cinquantaine de personnes qui mettent en avant une culture terre à terre de l’IA. « On a quitté le monde de l’innovation paillette pour être dans du très opérationnel » explique Arnold Zephir, l’un des data scientist de la start-up.

L’industrie consomme près d’un tiers de l’énergie produite dans le monde, que cela soit sous forme de chaleur ou d’électricité. C’est en réponse à ce constat que la start-up Sunti, filiale du groupe spécialisé en énergies renouvelables Soper, a été créée en 2014. Elle propose des technologies solaires thermiques et photovoltaïques pour fournir une énergie propre aux procédés industriels. Sunti s'occupe de tout l’investissement ainsi que la gestion opérationnelle et la maintenance des outils déployés. De quoi réduire l’empreinte carbone et la facture énergétique des industriels sans encombre.

« En France, seulement 37% de TPE/PME possèdent un site internet et 9% ont un site marchand » déclarait le ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance Bruno Le Maire dans un tweet du 10 novembre dernier, avant de rappeler la nécessité de rattraper ce retard. C’est en ce sens que le Gouvernement a lancé la plateforme clique-mon-commerce.gouv.fr pour proposer des solutions numériques qu’il a labellisé. Elle s’adresse aux commerçants, artisans, professionnels de l’hôtellerie et de la restauration qui souhaitent créer un site web, rejoindre une place de marché en ligne et développer rapidement une activité en ligne. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des actions de modernisation prévues par France Relance.

L’annonce des 11 lauréats du Grand Défi Cyber s’est faite en parallèle de celle concernant le nouveau « Plan Cyber » de la France. Le 18 février, Emmanuel Macron a ainsi tracé les lignes cette nouvelle stratégie nationale en déclarant mobiliser 1 milliard d’euros, dont 720 millions de financements publics, pour faire face à une cybermenace criminelle, d’espionnage ou de simple malveillance, « en expansion rapide ». Ce plan est financé par France Relance et le Programme d’investissement d’avenir. Il vise à développer la filière cyber d’un point de vue économique pour favoriser l’émergence de champions français, mais aussi à s’assurer une plus grande maitrise souveraine des technologies. C’est Willam Lecat, polytechnicien issu de la Direction Générale de l’Armement, qui est le coordinateur national de ce plan, dont le Grand Défi est un des aspects, au côté de la création du Campus Cyber à la Défense, ou des actions du Comité Stratégique de filière « industries de sécurité ».
Les objectifs chiffrés du Plan Cyber à horizon 2025 sont les suivants : multiplier par trois le chiffre d’affaires de la filière pour atteindre 25 milliards d’euros ; multiplier par deux le nombre d’emplois pour atteindre 75 000 personnes ; augmenter de 20% le nombre de brevets enregistrés et de 30% la recherche partenariale ; et faire émerger au moins 3 licornes françaises de la Cyber. Licornes que l’on pourrait bien trouver parmi les 11 entreprises lauréates du Grand Défi…


« Le Numa nous a aidé à structurer notre entreprise et nous a apporté un sacré réseau. » © Charlie Perreau
Date de création : janvier 2015
Fondateurs : Jean Baptiste Queromes et Fabrice Gaumont
Bienvenue Wifi commercialise un petit boîtier qui donne accès à Internet. Destiné aux voyageurs, il peut être commandé sur leur site web ou via des hôtels ou agences partenaires. La start-up de trois salariés a déjà signé des partenariats avec des marques du tourisme comme Europcar, Mercure ou encore HomeAway (groupe Abritel). Depuis 6 mois, elle s’est lancé dans l’évènementiel (ce qui représente 20% de son chiffre d’affaires) pour louer du wifi à des organisateurs. Pour un particulier, la location du boîtier avec l’accès à Internet s’élève à 10 euros par jour ou 50 euros par semaine. Déclarée à l’ARCEP comme opérateur télécom, la start-up achète ses cartes SIM à Bouygues Télécom en France et Vodafone dans le reste de l’Europe. Elle amorcera une levée de fonds à l’automne 2016, mais aucun montant n’a encore été défini.
Perspectives 2016-2017 : le développement d’un produit customisé, le recrutement d’un profil en back office, l’internationalisation de l’offre.
Pour découvrir l’intégralité de l’infographie et l’analyse de l’enquête,
téléchargez gratuitement le guide pratique « Nouvelles priorités de la DSI : face à la crise, quels messages stratégiques porter au Comex ? ».

La jeune entreprise spécialisée en data science, fondée en 2016 par Mehdi Chouiten et Eric Chau, accompagne de nombreux cas d’usages sur des sujets de mobilité avec sa plateforme OctoCity Transport. Fort de son expérience et après avoir levée 2,5 millions d’euros en 2019, la start-up qui compte aujourd’hui plus de 30 collaborateurs a annoncé vouloir accélérer en lançant une plateforme « nouvelle génération » nommée papAI, pour adresser tous les projets data stratégiques, avec une approche temps réelle et qui évite les effets « boite noire » souvent reprochés aux outils IA.

Il n’est pas compliqué de comprendre le cœur d’activité de cette start-up, car "Entech" fait aussi plus généralement référence au secteur des jeunes pousses qui cherchent des solutions pour produire, stocker, économiser ou transporter l’énergie de demain (Energytech). Mais Entech smart energies se différencie dans sa manière de réinventer le stockage en le couplant à des algorithmes de pilotage et des systèmes de conversion d'énergie optimisés Smart. Smart City, Smart Building, Smart Market, Smart Factory, Smart Camp… avec sa solution, la start-up entend bien répliquer le modèle Smart de partout.


Depuis octobre 2016 à Copenhague (Danemark), les solutions de Vulog permettent à Renault et l’opérateur danois Green Mobility d’offrir un service d’auto-partage 100 % électrique avec 450 Renault Zoé.
Renault-Nissan a annoncé début septembre 2020 avoir signé une lettre d'intention avec le géant technologique Uber pour un futur partenariat. L'objectif : électrifier les véhicules des chauffeurs de la plateforme californienne en Europe. Ce projet avait d'ailleurs été fructueux pour Uber qui avait collaboré avec Nissan au Royaume-Uni dans le même but. Uber gagne du terrain et espère qu'à Amsterdam, Berlin, Bruxelles, Lisbonne, Londres, Madrid et Paris la moitié des kilomètres effectués par les chauffeurs soit à bord de voitures électriques d'ici 2025.

La jeune pousse française a fait du chemin depuis sa création en 2010 par Paul Benoit et Miroslav Sviezeny. Son intuition : fournir à la fois de la puissance de calcul en mode cloud pour les entreprises et récupérer la chaleur ainsi produite pour chauffer écologiquement les bâtiments ou l’eau. En 2020, elle a bouclé sa série B, avec 6 millions d’euros pour diversifier ses clients. Avec plus d’une trentaine de talents et de nombreux recrutements en cours, Qarnot Computing s’impose aujourd’hui comme une PME innovante en pleine croissante d’un numérique responsable et efficient.

L’entreprise parisienne Invenis propose depuis sa création en 2015 de la « business intelligence augmentée » qui se veut accessible au plus grand nombre. Elle a levée en 2020, 3 millions d’euros dans un tour de table qui a été porté aux deux tiers par Crédit Mutuel Innovation. Pascal Chevrot, Benjamin Quétier et Grégory Serrano, les fondateurs, ont doublé leur équipe depuis un an autour d’une promesse : aider à la création de PME et d’ETI « data driven », alors que le manque de compétences en data science est une problématique incontournable pour les plus petites entreprises.

Cairn Devices est une petite boîte informatique créée en 2016 à Strasbourg. Leur objectif est de combattre l’obsolescence programmée des ordinateurs et réduire l’impact environnemental des déchets électroniques. Pour cela, la start-up a imaginé un prototype d’ordinateur portable entièrement modulable : des blocs sont présents par exemple sous le pc pour changer la RAM, le SSD, la carte graphique et l’écran est librement détachable et interchangeable. Et pour finir, un algorithme est même prévu sur le site internet de Cairn Devices pour identifier les pièces défectueuses de cet “Open Computer” et donc savoir lesquelles changer.

Gérer de la paperasse administrative peut s’avérer laborieux. Attestation Légale simplifie ces démarches grâce à un un réseau social B2B destiné au partage de documents. Initialement spécialisée dans l'immobilier et le BTP, la start-up se charge de collecter, numériser, authentifier, diffuser, mettre à jour et archiver l'ensemble des données et documents administratifs de nombreux secteurs (transports, événementiel, environnement, luxe, etc…).

Créée en 2010 à Nantes, Greenspector fait partie des pionniers qui aident les entreprises à changer les pratiques de leur transformation numérique. Elle propose aux développeurs de piloter la consommation de ressources et d’énergie des logiciels et applications qu’ils conçoivent. Forte de son expérience en la matière, elle a également élargit ces dernières années son approche pour du conseil « Green IT » qui permet aux entreprises de mieux appréhender les coûts et consommations selon leurs choix et pratiques. L’entreprise a adhéré en octobre 2020 à l’initiative Planet Tech’Care.

Pour inventer les services de mobilité de demain, les villes et les territoires doivent avant tout assurer un bon partage des données. C’est ce que la start-up Vianova défend depuis sa création en 2019 en connectant sur sa plateforme 10 villes et 20 opérateurs de mobilité à travers l’Europe. Elle propose une suite d’APIs ainsi que sa connaissance du RGPD pour aider les villes à prendre de meilleures décisions en matière de politique de mobilité et d’urbanisme. Au 1er décembre dernier, Vianova a annoncé une levée de fonds de 1,8 million d’euros pour accentuer son développement à l’international et déployer de nouveaux cas d’usage.

Initiative Gaia-X, « Airbus de la batterie », marché unique européen de la donnée… Chaque nouveau grand projet de coopération de l’Union Européenne en matière d’industrie numérique fait abondamment parler de lui ces dernières années. Et chacun fait se poser de nouvelles questions aux entreprises, plutôt que de leur apporter des réponses claires sur leurs enjeux de confiance, de performance et de coopétition dans le cadre de leur transformation numérique.
A l’occasion du workshop digital Alliancy « Les défis du nouveau monde » organisé en mars, nos invités DSI et CTO ont partagé leurs attentes importantes vis-à-vis de l’Europe de la Tech’, sans nous limiter à GaiaX. Quels sont les exemples de coopération réussie entre acteurs européens ? Avec quels enjeux d’interopérabilité, de sécurité et de vitesse d’innovation ? Quel rôle actif peuvent jouer les DSI face à ces orientations de l’Europe de la Tech’ ?

C’est en 2016 à Paris que Isabelle Mashola, ancienne bénévole pour des ONG au Burkina Faso et au Cameroun, a décidé de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale avec son associé Philippe Coup-Jambet. Elle a fondé la start-up Isahit dans le but de mettre en relation des travailleuses indépendantes en Afrique avec des entreprises de sous-traitance informatique essentiellement françaises. Sur le terrain, majoritairement en Afrique subsaharienne, Isahit a su générer plus de 1100 contrats avec des “hiteuses” (surnom des travailleuses indépendantes) en nouant des liens avec des associations locales, incubateurs et espaces de coworking.
Cirkwi est une grande bibliothèque de guides touristiques dans le monde. La start-up créée en 2011 aide les professionnels du tourisme à valoriser leurs offres, acquérir de nouveaux clients et développer la conversion de leur site web. Elle a notamment travaillé avec IGN, Ouest France, SNCF, Guide du Routard, Savoie Mont Blanc, Courchevel…

Créée en juin 2016, Lancey Energy Storage a inventé des radiateurs intelligents qui stockent l’énergie pendant les heures creuses pour la restituer au réseau au moment des pics de consommation a n de réduire la facture énergétique.

Basée dans la Drôme, à Valence, Dracula Technologies est une « DeepTech » spécialiste de la génération d’énergie à partir de la lumière ambiante, naturelle ou artificielle. Sa technologie s’appuie sur des cellules photovoltaïques organiques créées par impression numérique, que l’entreprise destine notamment aux industriels qui développent de plus en plus d’objets et capteurs connectés. En 2020, Dracula Technologies, citée comme exemple par le chantre de l’innovation frugale Navi Radjou, accélère sur la phase de pré-industrialisation, avec une levée de fonds de 2,2 millions d’euros.

La jeune pousse française SpaceSense s’occupe de récupérer des données satellitaires pour les rendre accessibles à différents acteurs économiques. Concrêtement, la plateforme peut être accessible autant aux agriculteurs qui ont besoin de savoir d’une meilleure compréhension de leurs sols qu’aux assureurs souhaitant mieux évaluer les risques de certaines zones géographiques. Après son lancement à l’été dernier, la start-up a annoncé début octobre une levée d’un million d’euro. Le projet, lancé à l’été dernier, a déjà réussi à lever un million d’euro de financement et à décrocher un partenariat avec l'Agence spatiale européenne (ESA).

Quand l’entrepreneur Arthur Vinson a souhaité créer Mailoop fin 2017, il est parti d’un constat assez simple : nous sommes beaucoup trop sur-sollicités par e-mail dans le cadre de notre travail. C’est un problème majeur qui a pris de l’ampleur pendant la crise sanitaire et avec la généralisation du télétravail. Il mérite d’être régulé étant donné son impact sur la qualité de vie au travail et sur l’environnement. Mailoop a donc conçu un plugin à relier à sa messagerie pour mieux sensibiliser au bon usage des échanges électroniques. Concrètement, un destinataire pourra notifier si un e-mail est approprié et pertinent, envoyé dans des horaires acceptables et aussi transmis dans le bon canal. Un moyen pour les équipes de s’accorder sur un référentiel commun en la matière.


Créée fin 2019, Greenly veut aider les entreprises à mesurer l’empreinte carbone de leur activité. L’obligation de réaliser un tel bilan pourrait être étendue à toutes les entreprises, suite aux demandes de la Convention Citoyenne pour le Climat : un défi pour les TPE-PME. Pour y arriver, la start-up analyse les transactions bancaires réalisées par les acteurs, à l’image de ce qu’elle propose déjà avec son application grand public. En septembre 2020, elle a annoncé que la technologie serait intégrée par BNP Paribas et Hello bank! pour que ce service soit dorénavant proposé à leurs propres clients.
